Ca va faire une semaine demain que je me lève le matin avec cette pensée : j'ai pas envie de vivre aujourd'hui. J'aimerais dormir toujours, ne jamais me réveiller.
J'ai envie de mourir quand je pense à ça : il faut que je marche pour aller travailler. Je n'en peux plus. Je ne tiendrai pas une journée de plus, ou sinon je me jète sous le métro qui ne passera pas puisqu'il n'y a pas de métro.
Bon, c'est un peu exagéré c'est vrai, mais si jamais y'a un mec de la ratp qui me lit, j'en sais rien moi... Peut-être qu'il ferait arrêter la grêve.
Ca reste vrai que ce matin j'avais pas envie d'aller à pieds au boulot. J'ai tenté le métro : apparemment y'en a un qui venait de passer. Une voix a annoncé qu'il y en avait toutes les 15 minutes. En sachant qu'il allait être bondé, c'était pas la peine. En plus, je n'ai pas d'abonnement ce mois ci, l'abonnement Imagine'R a expiré le 31 octobre, et ma carte Intégrale arrivera pour décembre. Donc il faut payer 1,10€ de ticket. Ben oui parce qu'en plus les tourniquets restent fermés. C'est nul.
J'ai fait laggle sur le trajet, j'étais une vraie parisienne. Fallait pas me faire chier. A un des rares moments où je relève la tête, j'aperçois Artus de Penguern sur un Vélib' aux environs d'Anvers, à la borne des Vélib Rue de Dunquerke. Je suis restée alors bloquée et j'ai souri pendant le reste du trajet. Il restait 5 minutes. Ce qui est marrant, c'est que c'est la deuxième fois dans ma vie que je croise cet acteur, et c'est toujours dans le même coin, la première fois c'était à Abbesses je crois. Donc le même coin.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Une fois je suis allé au travail à pied, j'ai marché 17 km.
17 km ? Ca fait au moins 5 heures de marche ça... Enfin pour mes toutes petites jambes.
Enregistrer un commentaire