Je ne l'ai pas du tout fait exprès, mais dans les trois derniers films, il y a le même acteur : François Damiens :
- le flic dans JCVD
- le médecin de travail dans La Personne Aux Deux Personnes
- l'adversaire de curling dans Seuls Two.
Il me fait rire avec son fort accent belge une fois.
dimanche 29 juin 2008
J'ai testé pour vous...
...Seuls two
Un film DE et avec Eric & Ramzy. Donc dans la lignée de la Tour Montparnasse Infernale et Double Zéro.
Nous sommes allés voir ce film dès la sortie car je suis plutôt fane. J'avais envie de changer de cinoche, alors j'ai choisi Bercy (enfin Cour St Emilion). Et bah en fait, ça tombait bien car à Bercy, le jour de la sortie, Eric et Ramzy sont venus présenter le film ! C'était plutôt rigolo, ils ont dit qu'ils étaient désolés pour Les Daltons (que je n'ai pas vu) et que c'est bien que la salle soit remplie malgré Steak qui n'a pas eu de succès (je rappelle pour les flemmards qui ne vont pas sur le lien que le film Steak c'est trop génial).
L'histoire de Seuls Two est assez absurde : Gervais est flic et hyper maladroit. Il cherche, visiblement depuis longtemps, à coincer Curtis, voleur professionnel. Un jour, Curtis fout en rogne Gervais, mais vraiment. Ce dernier se met à la poursuite, à pieds, du vilain et se rend compte, une fois arrivé sur les Champs Elysées, qu'il n'y a plus personne. Pas un chat. Sauf... Curtis. Ils sont seuls two.
Le film se découpe en trois parties :
- Tout le monde est là, Gervais cherche Curtis.
- Ils ne sont que deux, Gervais cherche Curtis.
- Tout le monde est là. Il faut régler les choses.
J'essaie de dévoiler un minimum de choses. C'est pas très facile.
Sinon, j'ai bien aimé, j'ai pas mal rigolé, peut-être un peu plus rigolé que La Personne aux Deux Personnes..Je vous le conseille. C'est pas aussi bien que la Tour Montparnasse Infernale (je crois que rien ne sera aussi bien que ce film) mais c'est mieux que Double Zéro.
Un film DE et avec Eric & Ramzy. Donc dans la lignée de la Tour Montparnasse Infernale et Double Zéro.
Nous sommes allés voir ce film dès la sortie car je suis plutôt fane. J'avais envie de changer de cinoche, alors j'ai choisi Bercy (enfin Cour St Emilion). Et bah en fait, ça tombait bien car à Bercy, le jour de la sortie, Eric et Ramzy sont venus présenter le film ! C'était plutôt rigolo, ils ont dit qu'ils étaient désolés pour Les Daltons (que je n'ai pas vu) et que c'est bien que la salle soit remplie malgré Steak qui n'a pas eu de succès (je rappelle pour les flemmards qui ne vont pas sur le lien que le film Steak c'est trop génial).
L'histoire de Seuls Two est assez absurde : Gervais est flic et hyper maladroit. Il cherche, visiblement depuis longtemps, à coincer Curtis, voleur professionnel. Un jour, Curtis fout en rogne Gervais, mais vraiment. Ce dernier se met à la poursuite, à pieds, du vilain et se rend compte, une fois arrivé sur les Champs Elysées, qu'il n'y a plus personne. Pas un chat. Sauf... Curtis. Ils sont seuls two.
Le film se découpe en trois parties :
- Tout le monde est là, Gervais cherche Curtis.
- Ils ne sont que deux, Gervais cherche Curtis.
- Tout le monde est là. Il faut régler les choses.
J'essaie de dévoiler un minimum de choses. C'est pas très facile.
Sinon, j'ai bien aimé, j'ai pas mal rigolé, peut-être un peu plus rigolé que La Personne aux Deux Personnes..Je vous le conseille. C'est pas aussi bien que la Tour Montparnasse Infernale (je crois que rien ne sera aussi bien que ce film) mais c'est mieux que Double Zéro.
samedi 28 juin 2008
Y'a un truc qui pue
Michaël : - Y'a un truc qui pue dans le salon.
Moi : - baaaah tu te fais à manger chinois.
Le lendemain :
c'était dans le salon.
Moi : - baaaah tu te fais à manger chinois.
Le lendemain :
c'était dans le salon.
mercredi 25 juin 2008
J'ai testé pour vous...
... La personne aux deux personnes
J'avais très envie de le voir car j'ai aperçu la bande annonce (en allant voir REC) et j'étais morte de rire (mdrptlol) pendant 15 bonnes minutes. Donc ça promettait.
Pas tant que ça en fait. Le film était bien, c'est vrai. Un peu trop long au début, j'ai cru que ça allait être la même histoire pendant longtemps. En fait non, ça va. L'idée est originale :
Gilles Gabriel est un vieux chanteur des années 80 qui passe 1 fois par semestre sur Nostalgie, un vieux beauf qui a gardé son mullet de l'époque d'Image (Les démons de minuit, tout ça). Il fait le fier dans son 4x4 de merde, au téléphone avec sa femme (qu'il appelle "bébé", j'adore ce détail) qui lui gueule dessus parce qu'il faut pas oublier les appéricubes. Bref, dans la précipitation et l'excitation, il renverse Ranu (Jean-Christian Ranu, comptable à la COGIP, ah oui, la COGIP c'est ça :
vous savez "message à caractère informatif"...). Et Gilles Gabriel meurt la tête écrasée contre son parbrise. J.-C. Ranu lui s'en sort avec quelques traumatismes corporels, puis un autre un peu moins commun : l'esprit de G. Gabriel vient dans la tête de Ranu. Ils sont donc 2 personnes mentales pour une physique. Compliqué et tordu. La cohabitation s'avère au début difficile : le premier, vieux chanteur, artiste un peu, il aime la bière et les nibards. Le second vit tranquille dans un studio au pied de la tour de la Défense, où il travaille. Il aime la cantine, se coucher à 21h et sa chef, en secret, qui est un chouilla tortionnaire. Il travaille à la COGIP depuis 19 ans et ne souhaite pas changer ses bonnes vieilles habitudes que maman lui inculquées.
Voilà en gros l'histoire. C'est marrant de voir deux types de mentalités être obligés de vivre ensemble. Le film n'est pas trop long (ce qui est de plus en plus rare, je trouve) et certaines idées sont très drôles. La fin est géniale !
J'avais très envie de le voir car j'ai aperçu la bande annonce (en allant voir REC) et j'étais morte de rire (mdrptlol) pendant 15 bonnes minutes. Donc ça promettait.
Pas tant que ça en fait. Le film était bien, c'est vrai. Un peu trop long au début, j'ai cru que ça allait être la même histoire pendant longtemps. En fait non, ça va. L'idée est originale :
Gilles Gabriel est un vieux chanteur des années 80 qui passe 1 fois par semestre sur Nostalgie, un vieux beauf qui a gardé son mullet de l'époque d'Image (Les démons de minuit, tout ça). Il fait le fier dans son 4x4 de merde, au téléphone avec sa femme (qu'il appelle "bébé", j'adore ce détail) qui lui gueule dessus parce qu'il faut pas oublier les appéricubes. Bref, dans la précipitation et l'excitation, il renverse Ranu (Jean-Christian Ranu, comptable à la COGIP, ah oui, la COGIP c'est ça :
vous savez "message à caractère informatif"...). Et Gilles Gabriel meurt la tête écrasée contre son parbrise. J.-C. Ranu lui s'en sort avec quelques traumatismes corporels, puis un autre un peu moins commun : l'esprit de G. Gabriel vient dans la tête de Ranu. Ils sont donc 2 personnes mentales pour une physique. Compliqué et tordu. La cohabitation s'avère au début difficile : le premier, vieux chanteur, artiste un peu, il aime la bière et les nibards. Le second vit tranquille dans un studio au pied de la tour de la Défense, où il travaille. Il aime la cantine, se coucher à 21h et sa chef, en secret, qui est un chouilla tortionnaire. Il travaille à la COGIP depuis 19 ans et ne souhaite pas changer ses bonnes vieilles habitudes que maman lui inculquées.
Voilà en gros l'histoire. C'est marrant de voir deux types de mentalités être obligés de vivre ensemble. Le film n'est pas trop long (ce qui est de plus en plus rare, je trouve) et certaines idées sont très drôles. La fin est géniale !
mardi 17 juin 2008
Beauf
Je suis en ce moment même en train de subir le France-Italie. Subir car c'est notre voisin (et tous ses copains) qui regarde et vas-y les "hooo !" les "elle est beeeeelle !" les "allez vas-yyyyyyyy" les "putaiiiin !" et j'en passe. Voilà, c'est notre nouveau voisin.
Bon, moi je m'en fous. En fait, ça me rassure d'avoir un voisin qui fait du bruit. Parce qu'à mon avis, nous ne sommes pas discrets. Mais ce qui est très drôle, c'est qu'il s'appelle Bof. Voilà, notre voisin le beauf.
Bon, moi je m'en fous. En fait, ça me rassure d'avoir un voisin qui fait du bruit. Parce qu'à mon avis, nous ne sommes pas discrets. Mais ce qui est très drôle, c'est qu'il s'appelle Bof. Voilà, notre voisin le beauf.
mardi 10 juin 2008
J'ai testé pour vous...
JCVD
Bon alors j'avoue ne pas avoir été très concentrée à ce moment là (j'avais cassé une bouteille de jus de goyave juste avant, ça porte malheur), donc à mon avis ça affecte un peu mon jugement sur ce film.
L'histoire est celle de Jean-Claude Van Damne, gros looser : il fait des films pas super glorieux, qui lui passent parfois sous le nez parce que Steven Seagal se coupe la queue de cheval... En plus il perd la garde de sa fille. Et il a du mal à payer ses avocats car Steven Seagal lui vole ses films. Donc c'est le cercle vicieux. Il revient, pour je ne sais quelles raisons, en Belgique, dans son pays natal. Il se rend à la banque pour prendre du cash. Mais Jean-Claude est fatigué, il n'a pas dormi depuis 2 jours, il est à bout de nerfs, la guichetière est dans l'impossibilité de lui donner son argent. Là, c'est le drame. Je vous laisse le découvrir en allant voir le film.
A ce qu'il parait, le film n'est pas mal. Je l'ai trouvé trop long moi. A la fin, y'a un petit con d'une bande de tecktonaziouaichouaich qui a dit "c'était une grosse bouze, j'ai rigolé qu'à un seul moment". Oui, faut pas y aller en s'imaginant que c'est un film tout plein de "aware" et de "1+1 ça fait 11". C'est un film où on voit Jean-Claude en souffrir, et essayer de relever la tête.
A part ça, j'ai trouvé qu'il jouait merveilleusement bien. Et parfois le film est marrant sans "aware" ou autre "tu renifles, tu as besoin de te moucher ?"
Bon alors j'avoue ne pas avoir été très concentrée à ce moment là (j'avais cassé une bouteille de jus de goyave juste avant, ça porte malheur), donc à mon avis ça affecte un peu mon jugement sur ce film.
L'histoire est celle de Jean-Claude Van Damne, gros looser : il fait des films pas super glorieux, qui lui passent parfois sous le nez parce que Steven Seagal se coupe la queue de cheval... En plus il perd la garde de sa fille. Et il a du mal à payer ses avocats car Steven Seagal lui vole ses films. Donc c'est le cercle vicieux. Il revient, pour je ne sais quelles raisons, en Belgique, dans son pays natal. Il se rend à la banque pour prendre du cash. Mais Jean-Claude est fatigué, il n'a pas dormi depuis 2 jours, il est à bout de nerfs, la guichetière est dans l'impossibilité de lui donner son argent. Là, c'est le drame. Je vous laisse le découvrir en allant voir le film.
A ce qu'il parait, le film n'est pas mal. Je l'ai trouvé trop long moi. A la fin, y'a un petit con d'une bande de tecktonaziouaichouaich qui a dit "c'était une grosse bouze, j'ai rigolé qu'à un seul moment". Oui, faut pas y aller en s'imaginant que c'est un film tout plein de "aware" et de "1+1 ça fait 11". C'est un film où on voit Jean-Claude en souffrir, et essayer de relever la tête.
A part ça, j'ai trouvé qu'il jouait merveilleusement bien. Et parfois le film est marrant sans "aware" ou autre "tu renifles, tu as besoin de te moucher ?"
lundi 9 juin 2008
Paris by night
Il est possible que cette photo se passe de commentaire, mais ce que je voyais était bien mieux. Paris, la nuit, dans ces quartiers çi et à un temps pareil, c'est super agréable. Si je n'avais pas à aller travailler le lendemain, on aurait peut-être fait tout le chemin à pieds (plus de 8 kilomètres nous séparaient de notre appartement, soit plus de 2 heures avec mes petites jambes). Mais le temps était super bon, il y avait un petit vent frais, il ne faisait ni trop froid, ni trop chaud. C'était parfait. A un moment, c'était gris et jaune, j'avais l'impression d'être dans les studios de Dick Tracy.
Bon voilà, c'était juste pour dire que... Putain c'est beau une ville la nuit.
jeudi 5 juin 2008
J'ai testé pour vous...
Sex And the City, le film.
Je suis allée le voir il y a 1 semaine, jour pour jour, heure pour heure même.
Bon, alors déjà, une question qui m'a été posée : peut-on aller voir le film en n'ayant pas regardé la série. La réponse est : plutôt oui, car au début du film, un rapide résumé de la sérié (et surtout de la dernière saison) est fait.
En ce qui me concerne, j'aime beaucoup la série. Même si j'ai 20 ans d'écart avec les personnages j'arrive toujours à me retrouver en chacune d'entre elle : Miranda, folle du boulot, et son enfant non désiré qu'elle a eu dans la saison 4, Samantha la folle du cul mais amoureuse de Smith depuis la saison... 6 je crois, Charlotte la princesse juive qui ne peut pas avoir d'enfant et qui a adopté une petite chinoise, et enfin Carrie, un mix de toutes, amoureuse de l'amour, mais surtout de Mister Big qu'elle arrive à avoir pour de bon à la fin de la série.
J'ai adoré la fin de la série. En fait c'est simple, Sex & the City j'apprécie de la saison 1 à la saison 3. Puis à un moment, je ne sais pas pourquoi, à la saison 4 les scénaristes ont du se dire "et si on mettait beaucoup d'émotions dans les saisons à venir ?" et PAF, certains épisodes me font chialer, les histoires sont géniales.
Et ces histoires géniales, j'avais peur que le film casse tout. Pour celles (ou ceux, mais soyons réalistes, peu de mecs liront ce post) qui veulent voir le film mais qui ne veulent pas trop se spoiler, ne lisez pas la suite : la série a effectivement été dénaturée, selon moi. Il se passe beaucoup de choses qui changent l'histoire. Comme on peut l'apercevoir sur la bande annonce, Steeve (le mari de Miranda) nous apprend qui l'a trompée - mais juste une fois, Charlotte tombe enceinte, Carrie va se marier avec Big mais en fait il se passe plein de trucs qui font que NON ils ne vont pas se marier, mais se séparer, et pour finir Samantha reste par pitié avec Smith. Mais que faire ??
Bon voilà, j'ai trouvé ça archi cul-cul la praline, c'est tout à fait le genre de film que les garçons détestent parce qu'il ne s'agit que de ce que pense la femelle, tout est tourné de manière à ce qu'on passe du rire aux larmes, mais avec moi ça ne marche pas, bien au contraire (si, sauf quand Charlotte accouche et qu'on apprend le nom du bébé, là j'avoue avoir presque pleuré mais c'est tout à fait personnel).
Donc en gros, bof. Ca m'a donné très envie de revoir les saisons qui précèdent le film, la fin de la 4, la 5 et l'ultime, la 6ème.
Je suis allée le voir il y a 1 semaine, jour pour jour, heure pour heure même.
Bon, alors déjà, une question qui m'a été posée : peut-on aller voir le film en n'ayant pas regardé la série. La réponse est : plutôt oui, car au début du film, un rapide résumé de la sérié (et surtout de la dernière saison) est fait.
En ce qui me concerne, j'aime beaucoup la série. Même si j'ai 20 ans d'écart avec les personnages j'arrive toujours à me retrouver en chacune d'entre elle : Miranda, folle du boulot, et son enfant non désiré qu'elle a eu dans la saison 4, Samantha la folle du cul mais amoureuse de Smith depuis la saison... 6 je crois, Charlotte la princesse juive qui ne peut pas avoir d'enfant et qui a adopté une petite chinoise, et enfin Carrie, un mix de toutes, amoureuse de l'amour, mais surtout de Mister Big qu'elle arrive à avoir pour de bon à la fin de la série.
J'ai adoré la fin de la série. En fait c'est simple, Sex & the City j'apprécie de la saison 1 à la saison 3. Puis à un moment, je ne sais pas pourquoi, à la saison 4 les scénaristes ont du se dire "et si on mettait beaucoup d'émotions dans les saisons à venir ?" et PAF, certains épisodes me font chialer, les histoires sont géniales.
Et ces histoires géniales, j'avais peur que le film casse tout. Pour celles (ou ceux, mais soyons réalistes, peu de mecs liront ce post) qui veulent voir le film mais qui ne veulent pas trop se spoiler, ne lisez pas la suite : la série a effectivement été dénaturée, selon moi. Il se passe beaucoup de choses qui changent l'histoire. Comme on peut l'apercevoir sur la bande annonce, Steeve (le mari de Miranda) nous apprend qui l'a trompée - mais juste une fois, Charlotte tombe enceinte, Carrie va se marier avec Big mais en fait il se passe plein de trucs qui font que NON ils ne vont pas se marier, mais se séparer, et pour finir Samantha reste par pitié avec Smith. Mais que faire ??
Bon voilà, j'ai trouvé ça archi cul-cul la praline, c'est tout à fait le genre de film que les garçons détestent parce qu'il ne s'agit que de ce que pense la femelle, tout est tourné de manière à ce qu'on passe du rire aux larmes, mais avec moi ça ne marche pas, bien au contraire (si, sauf quand Charlotte accouche et qu'on apprend le nom du bébé, là j'avoue avoir presque pleuré mais c'est tout à fait personnel).
Donc en gros, bof. Ca m'a donné très envie de revoir les saisons qui précèdent le film, la fin de la 4, la 5 et l'ultime, la 6ème.
Inscription à :
Articles (Atom)
